mercredi 4 décembre 2013

Paul Aussaresses et Jean-Claude Beton ne se seront probablement pas rencontré, ni à la terrasse d’un café où dans une lugubre salle d’interrogatoire. Partis tous les deux à un jour d’intervalle aucun ne livrera l’origine du slogan : « secouez-moi, secouez-moi ». 

2 commentaires:

LE MAMI a dit…

ORANGINA
H./S.

le bourdon masqué a dit…

Ils sont arrivés avec plusieurs longueurs d'avance sur Nelson.
st-Pierre laisse la porte ouverte où mets-y un Judas.
Bzzz...