mercredi 25 avril 2012

Khmer "rouge"

Petit coin de vigne à Chaillac où ici trône non pas Léon mais mon père au lendemain d'une guerre dite "drôle". Après les paysages de Tati je vais tenter de rétrouver ceux d'un père qui n'avait que pour proposition pour la jeunesse "yéyé": "une pelle et une pioche, y'a des autoroutes à faire".

4 commentaires:

Jeanmi a dit…

Normal, la génération de nos parents était d'avant l'énorme fracture culturelle de la guerre. Il n'y avait rien de commun entre mon propre père et moi. En revanche je suis son négatif. Je suis devenu tout ce qu'il nétait pas et je ne serai jamais ce qu'il était. Pour la première fois je suis plus vieux que lui, donc je peux le dire à présent...

le bourdon masqué a dit…

intéressant la façon de se voir plus vieux que son père. J'ai souvent procédé par étapes avec mes enfants en prenant des jalons chronologiques en parallèles avec ma propre histoire.
Bientôt nous devrions en parler j'ai bon espoir de dépasser son âge.

Marité a dit…

Mon père était dur à la tâche aussi... J'en ai un peu hérité...
BIZzzzzzz... la mouche assez active...

le bourdon masqué a dit…

Marité à l'usine il était une "pointure" professionnelle des temps d'usinage réalisés par lui sont restés des records très longtemps.
Le tourneur à mauvais caractère,jurant,hurlant puis parfois chantant de ça au moins j'ai hérité.