mercredi 14 septembre 2011

Glanées

7 commentaires:

Barbara a dit…

tant qu'elles ne sont pas chaudes....

le bourdon masqué a dit…

Il faut souffrir pour ôter les robes des champs puis un chouille de beurre deux ou trois grains de fleur de sel et puis plus grand chose n'a d'importance. Tu vois Barbara j'aime ça la simplicité, pas besoin d'expliquer, de chercher le pourquoi du comment alors que c'est tout droit direction le trou où plus tard d'autres butteront leurs patates.
Bzzz...

le bourdon masqué a dit…

tiens, je l'ai écrit...

Barbara a dit…

bien d'accord

idem avec le pain

Dominique Seidler a dit…

j'adore les patates en robe des champs ! j'aime aussi une salade de pommes de terre tièdes avec du hareng!j'en mangeais chez mes grands parents et aussi chez mes parents !
ca c'est le pied !

le bourdon masqué a dit…

Barbara, Dominique mon ami Benoît le cuisinier me disait que les jeunes qui sont sous son aile rêvent tous de plats et de recettes les plus époustouflants qui soient. Il regrette que les programmes s'orientent sur ce genre de préparation alors qu'il souhaiterait que "les basiques" hachis Parmentier, choucroute, cassoulet etc, etc... redeviennent les fondations d'une cuisine pas trop compliquée et pas trop coûteuse. Beaucoup de ces jeunes n'auront pas une renommée planétaire, mais quand des brasseries ont un niveau de qualité sinon équivalent ou supérieurs à des restaurants(où l'assemblage est roi) tenus par des diplômés d'écoles X Y et même Z ont peut se dire que tout espoir n'est pas perdu pour ceux et celles qui auront les fondamentaux acquis du Chef Benoît.

le bourdon masqué a dit…

Bises...