samedi 3 avril 2010

Filles de l'air.

 

Alors les frangines,un petit tour à Rome.Vous vous sentez pousser des ailes.Pousse cailloux que j'étais c'était l'histoire en cette période.Et moi couillon de la lune le nez en l'air attendant le passage d'escadrilles de cloches j'usais ainsi mon dimanche matin.
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1 commentaire:

Dominique Seidler a dit…

Oh, non, c'est mignon ces croyances d'enfant ... ! Cet état de naïveté de "couillon de la lune", je le cherche et le renouvelle encore dès que je peux dans ma vie actuelle. Par exemple en regardeant la neige fixement quand elle tombe jusqu'à l'impression de m'envoler comme je faisais petite, en écoutant dans les coquillages pour encore entendre la mer, en croyant quelquefois au père noël ... je suis une inconsolable de la perte de l'innocence enfantine ! Vous avez bien raison de vous souvenir de ce dimanche "perdu" à attendre les cloches, car c'est encore dans votre tête plein de nostalgie et de poêsie. Bon week end de Pâques. Merci de vos visites.